NOTRE VÉRITÉ...
Monsieur Le Maire affirme que le conseil municipal a définitivement arrêté le choix de l'aménagement du quartier du casino:
CE N'EST PAS EXACT.
1° si le conseil a effectivement délibéré en janvier 2012 sur un aménagement POSSIBLE de cet emplacement c'était bien dans le cadre d'une étude !!!
Pour preuve, les élus n'ont jamais annulé la délibération précédente qui stipulait le déplacement du minigolf vers un autre site:
La consultation des quinocéens en mairie devait aider les élus dans leur choix mais elle a été honteusement manipulée.
2° Cette consultation est toujours ouverte en mairie, curieux pour une enquête jugée comme terminée par le maire.
L'AVIS des quinocéens ne compterait il pas ???
3° A deux reprises la majorité du conseil municipal a demandé au maire conformément à la loi d'inscrire en urgence, à l'ordre du jour du conseil municipal le choix du projet définitif.
Le maire a refusé, c'est une entorse grave au code des collectivités territoriales.
4° Monsieur Le Maire prétend que le projet "B"" reçoit une large adhésion,le problème est qu'aucun élu n'a eu accès au cahier de doléances et qu'aucune synthèse n'a été réalisée sur l'ensemble des remarques écrites par les quinocéens.
5° Il est normal que les élus puissent avoir des opinions différentes sur ce sujet, comme il est normal que les candidats aux prochaines élections affichent leur préférence.
Monsieur Le Maire craindrait il le suffrage universel et surtout qu'un conseil municipal réuni au complet invalide ce projet qui suscite tant de polémique?
En demandant au préfet d'organiser une élection complémentaire (qui n'avait rien d' obligatoire ) le Maire n'a t'il pas déclaré qu'il s'en remettrait au choix des électeurs .
6° Dans l'attente du résultat des élections , les travaux peuvent continuer au delà du minigolf,
SANS PREJUDICE et SANS PERTURBER
le calendrier de ces travaux.
7° Quant à l'affirmation que la liste conduite par Monsieur Robert Allenou est pilotée par un tiers, ce n'est ni plus ni moins qu' une injure de plus faite à l'homme qui a conduit avec probité, dignité et efficacité les affaires municipales entre 1997 et 2001.
LES 10 ÉLUS FORMANT LA MAJORITÉ AU SEIN
DU CONSEIL MUNICIPAL